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[英語からネイティブ フランス語への翻訳依頼] Like the previous Studio Ghibli movie, the 2011 "From Up Poppy Hill" (directe...
翻訳依頼文
Like the previous Studio Ghibli movie, the 2011 "From Up Poppy Hill" (directed by Miyazaki's son, Goro), this movie contemplates war indirectly. The movie is not about the wartime deaths of many—soldiers and civilians. Instead, it's a fictional account of Jiro Horikoshi, the main designer of the Japanese Zero, making this the only Hayao Miyazaki movie based on a historical character. Miyazaki was inspired by Hirikoshi's commented that he only wanted to create something beautiful. Yet he did so much more.
During World War II, German airplanes were made of metal, yet Japan is a metal poor country. The Zero was a major accomplishment of because it was light, fast and made predominately of wood. Of Horikoshi's Zero, The New York Times wrote in his obituary, the Zero "could climb faster and turn more tightly than its heavier United States counterparts, shot down so many American planes in the early stages of the war that 'Never dogfight a Zero' became a maxim for Allied pilots."
jdduq
さんによる翻訳
Comme le film du Studio Ghibli précédent de 2011 "From Up Poppy Hill" (dirigé par le fils de Miyazaki, Goro), ce film contemple la guerre indirectement. Le film ne porte pas sur les morts de plusieurs en temps de guerre; soldats et civils. Plutôt, c'est l'histoire fictive de Jiro Horikoshi, le designer principal de l'avion japonais Zero. Faisant donc de ce film, le seul de Hayao Miyazaki inspiré d'un personnage historique. Miyazaki fût inspiré par un commentaire de Hirikoshi mentionnant qu'il désirait seulement créer quelque chose de beau. Malgré cela, il fit tellement plus.
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, les avions allemands étaient faits de métal. Pourtant, cette ressource est rare au Japon. Le Zéro fut un accomplissement majeur dû à sa légèreté, sa vitesse et le fait qu'il était fait principalement de bois. À propos du Zero de Horikoshi, le New York Times écrivit dans sa section nécrologique que le Zéro "pouvait monter plus vite et effectuer des virages plus serrés que ses contre-parties américaines plus lourdes, a abattu tellement d'avions américains au début de la guerre que 'ne jamais entrer en duel aérien avec un Zéro' devint une maxime pour les pilotes des forces alliées."