Escaping from the unsightly, traffic-choked capital, Ouagadougou, is already a treat. As my taxi cruises along the straight asphalted road, the dust of “Ouaga” gives way to green fields. Skinny acacias and fat baobabs occasionally break the monotony of the plain.
After two and a half hours through arid savanna, we turn off onto a sandy, tree-lined dirt road. Another bumpy half-hour later, during which we only met a few bicycles, we finally reach Tiebele, set among the low hills that continue into Ghana, just a few kilometers away.
Après deux heures et demi de progresser à travers de la savane aride, nous bifurquons sur un sableux chemin de terre bordé d'arbres. Une demi-heure cahoteuse plus tard, au cours de laquelle nous n'avons rencontré que quelques vélos, nous arrivons enfin à Tiebele, situé au milieu des collines qui continuent au Ghana, seulement quelques kilomètres plus loin.
Après deux heures et demi à travers la savane aride, nous bifurquons sur un chemin de terre bordé d'arbres. Une demi-heure cahoteuse plus tard, au cours de laquelle nous n'avons rencontré que quelques vélos, nous arrivons enfin à Tiebele, situé au milieu des collines qui continuent au Ghana, à seulement quelques kilomètres.
Après deux heures et demi à travers la savane aride, nous bifurquons sur un chemin de sable, sale et bordé d'arbres. Une cahoteuse demi-heure plus tard, pendant laquelle nous n'avons rencontré que quelques vélos, nous arrivons enfin à Tiebele, située au milieu des collines qui continuent au Ghana, à seulement quelques kilomètres.
A young man in jeans and a sports jacket runs alongside the car, offering to be our guide. I am wary, being so used to having to shrug off all the self-proclaimed guides who latch onto any white person in Ouagadougou in the hope of making a few francs. But my taxi driver checks with the bored police officer of the village; he assures us that the young man, Bernard, is an official guide, so we follow him.
Once we have parked the aging red Toyota in the shade, not a single engine can be heard in the village.
It is soothingly quiet. Bernard walks us to theVillagers entrance to a mud hut compound. He explains that it can accommodate an extended family of nearly 200 people.
Une fois que nous avons garé la vieillissante Toyota rouge à l'ombre, pas un seul moteur peut être entendu dans le village.
Il y a un silence apaisant. Bernard nous dirige vers l'entrée des villageois d'une enceinte des cabanes de boue. Il explique qu'elle peut accueillir une famille élargie de près de 200 personnes.
Une fois que nous avons garé la vieillissante Toyota rouge à l'ombre, pas un seul moteur peut être entendu dans le village.
Il est apaisant calme. Bernard nous dirige vers l'entrée de village d'un composé boue cabane. Il explique qu'il peut accueillir une famille élargie de près de 200 personnes.