I can't believe it either, because Do is a bit of a dud. Plus, who gets weirdly clingy like this in their 20s? Snap out of it, girl, you have a brain and a career. Use them.
From there, "Trap for Cinderella" hops back and forth between the present day, with "Micky" or whoever she is figuring out what really happened between her and Do, and flashbacks to ominous topless sunbathing trips and drives along high, sheer cliffs in an expensive convertible. The normally formidable Frances de la Tour goes to waste in a couple of quick scenes as Micky's aunt; she supposedly serves as a key piece of the puzzle but barely gets the opportunity to register.
De là, « Piège pour Cendrillon » saute-et-vient entre le présent jour, avec « Micky » ou qui que ce soit pour comprendre ce qui s'est vraiment passé entre elle et Do, et des flashbacks de sinistres voyages de bronzage les seins nus et de tours le long de hautes falaises abruptes dans un convertible cher. Le formidable normalement Frances de la Tour se perd dans quelques scènes rapides comme la tante de Micky ; elle sert soi-disant comme une clé du puzzle mais elle aura à peine l'occasion de s'inscrire.
Depuis, "L'attrape pour Cendrillon" va et vient entre le jour présent, où elle essaie de compredre ce qui c'est passé entre elle et Do avec "Micky" ou qui que ce soit qui l'aide, et des retours en arrière à de calamiteux voyages de bronzage sans haut et des promenades en décapotable le long de falaises escarpées. Frances de la Tour, normallement une actrice formidable, se voit gaspillé en quelques scènes rapides durant lesquelles elle incarne le tante de Micky; elle serait supposément une pièce importante du mystère, mais a à peine l'opportunité d'apparaître.
Then again, Softley doesn't invest much effort in his lead characters, either. Rather than taking the time to develop these women as recognizable people who find themselves in a dangerous situation we care about, he presents them as types and makes them pawns in an elaborate (and increasingly preposterous) game.
The only thing that's disturbing here is the misogynistic perpetuation of the myth that women are jealous creatures hell-bent on destroying each other—or making out, whichever comes first.
Le seul élément qui est troublant ici est la perpétuation misogyne du mythe que les femmes soient des créatures jaloux acharnés à détruire l'autre - ou à s'en sortir, selon la première éventualité.
La seule chose qui soit vraiment troublante ici est la perpétuation du mythe misogynique que les femmes sont des créatures jalouses qui ne pensent qu'à se détruirent entre elles - ou d'embrasser le premier venu, quel que soit la situation qui se présente en premier.
It should be détruire instead of détruirent in the last sentence.