At the same time, a definite idea about The Way We Live Now always creeps into the process. In "Visitors," Reggio expands on an idea pursued in his short film "Evidence", in which children stared at television reflected off a two-way mirror. Behind the mirror was a movie camera—the viewer, essentially. In "Visitors," people of all ages seem to stare at us while actually peering into computer screens and video games. It's clear that Reggio finds something disturbing about that, but he lets Glass strike the tone of fascinated lament. The rest he leaves up to us.
Au même moment, une idée précise de la façon dont nous vivons aujourd'hui se glisse toujours dans le processus. Dans « Visiteurs », Reggio développe une idée poursuivie dans son court métrage « Évidence », dans lequel les enfants regardaient la télévision réfléchie sur un miroir à double sens. Derrière le miroir était une caméra - le spectateur, essentiellement. Dans « Visiteurs », les gens de tout âge semblent nous regarder alors que vraiment ils regardent ils scrutent les écrans d'ordinateur et les jeux vidéo. Il est clair que Reggio trouve quelque chose d'inquiétant, mais il permet à Glass de donner le ton de lamentation fascinée. Le reste, il laisse à nous.
I wonder if Aaron Eckhart knew, when he signed on to play eventually-horrifically-disfigured Gotham City District Attorney Harvey Dent in Christopher Nolan's "The Dark Knight," that "it," such as it is, would ever come to "this." Surely it is only his performance as the Batman universe character also-known-as "Two-Face" that gave the makers of "I, Frankenstein," a grievously ill-advised motion picture on every level, the inspiration to cast Eckhart as the undead creation of horror lore.
Je me demande si Aaron Eckhart savais, lorsqu'il a signé pour jouer éventuellement Harvey Dent, procureur de Gotham City, terriblement défiguré, dans « The Dark Knight », de Christopher Nolan, que, « lui » tel qu'il est, ne parviendrait jamais à « cela ». Certainement c'est uniquement sa performance comme le personnage de l'univers Batman, aussi connu comme « Double-Face » qui a donné aux producteurs de « I, Frankenstein », un film grièvement malavisé à tous les niveaux, l'inspiration de choisir Eckhart comme la créature morte-vivante de la tradition de l'horreur.
This particular envisioning of Frankenstein's monster might just as well be called Scarface, for a cut-up visage, and, for the 18th-Century-set intro, some Seattle-grunge-rocker hair, are all that disguise Eckhart's fratinee-idol good looks here. The intro, with narration from the monster—who is very articulate and speaks just like Aaron Eckhart—gives what at first seems an only slight variant on the Shelley original.
Cette visualisation particulière du monstre de Frankenstein pourrait aussi bien s'appeler Scarface, en raison d'un visage coupé, et, des cheveux au look grunge-rocker de Seattle dans l'intro, qui a lieu au 18ième siècle, sont tout ce qui déguise la beauté d'idole de Eckhart ici. L'intro, avec la narration du monstre - qui est s'exprime très bien et parle exactement comme Aaron Eckhart - donne ce qui semble au premier abord n'être qu'une légère variation de l'original de Shelley.
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There are some critics and thinkers who posit that mediocrity is worse than out-and-out failure, but the really pernicious thing about mediocrity is that it's so banal that it's more difficult to get productively agitated about than the truly awful. Arguably, that is. I'm sorry that I seem to be so circuitous, but I'm trying to give a proper account of the state of thought into which I found myself thrust by "The Adventurer: The Curse of the Midas Box." This movie's title indicates that it could be the first of a series, and sure enough,the movie's script was adapted from a popular fantasy book by G.P. Taylor that is the first of a series,
Il y a certains critiques et des penseurs qui postulent que la médiocrité est pire que l'échec total, mais ce qui est vraiment pernicieux en ce qui concerne la médiocrité c'est que c'est tellement banal qu'il est plus difficile d'être agité productivement que véritablement horrible. Sans doute, ceci l'est. Je suis désolé que je semble si sinueux, mais j'essaie de donner un bonne explication de l'état de pensée dans laquelle je me suis retrouvé poussée par « The Adventurer: The Curse of the Midas Box. » Le titre de ce film indique qu'il pourrait être le premier d'une série, et bien sûr, le scénario du film a été adapté d'un livre de fantasy populaire par GP Taylor qui est le premier d'une série,
not under the rubric "The Adventurer" but rather "Mariah Mundi" who is the lead character of the book and whose name probably doesn't look great on a movie poster. Not that Mariah, a late teen in Victorian-era England, is really much of an adventurer. In this picture he's a fellow who's obliged to do some hopping around London to find his younger brother Felix, who's been kidnapped by the minions of Otto Luger (Sam Neill) on account of having half of an amulet that leads to a realm in which resides the changing-stuff-to-gold "Midas Box" of the movie's subtitle, an object of enormous power as you of course can imagine.
pas sous la rubrique « The Adventurer », mais plutôt « Mariah Mundi » qui est le personnage principal du livre et dont le nom n'a probablement pas l'air grand sur une affiche de film. Non pas que Mariah, un adolescent à la fin de l'époque victorienne en Angleterre, est vraiment un aventurier. Dans ce film, il est un homme qui est obligé de faire quelques sauts autour de Londres pour trouver son jeune frère Félix, qui a été enlevé par les sbires d'Otto Luger (Sam Neill) en raison d'avoir la moitié d'une amulette qui mène à un domaine dans lequel réside le « Midas Box », qui change les choses en or, des sous-titre du film, un objet de pouvoir énorme comme vous pouvez bien sûr imaginer.
Things follow as you would imagine. The four guys bond by hanging out in the parking lot of the local Pizza King, stripping their friend down naked while he's wasted and egging the house of the still-hated principal. No wonder their wives are annoyed. The film is pretty gross, featuring vomit, fecal matter, and multiple farts in almost every scene. The assistant principal turns out to be the gay lover of the principal, and you know how we know he's gay? Because he shows up at the door of the egged house, and he's actually holding a little yappy dog.
Les choses suivent comme vous imaginez. Les quatre gars se rapprochent en traînant dans le parking de la Pizza King local, en arrachant les vêtements de leur ami alors qu'il est ivre et en jetant des œufs à la maison du principal toujours détesté. Pas étonnant que leurs épouses sont ennuyées. Le film est assez brut, avec des vomissements, matières fécales, et plusieurs pets dans presque chaque scène. Le directeur adjoint s'avère être l'amant gay du principal, et vous savez comment nous savons qu'il est gay ? Parce qu'il se présente à la porte de la maison qui a reçu des œufs jetés, et il tient en fait un petit chien jappeur.
Haven't we moved past the days of "St. Elmo's Fire", when the one gay character is shown swishing through the hallway holding a girlie drink with a colored umbrella in it? Even more disturbing, in "Back in the Day", the fact that the principal turns out to be a gay man is supposed to make us see him as ludicrous and worthy of mockery. The four guys are always joking about having anal sex or raping each other. They live in terror of penetration. I get that this is sometimes how guys talk, but it's not treated honestly here. It's an unexamined cliché of male bonding. It's lazy.
N'avons-nous pas déplacé les jours de « St. Elmo's Fire », lorsque un personnage gay est représenté bruissant par le couloir avec une boisson féminine avec un parapluie à couleurs ? Encore plus inquiétant, dans « Back in the Day », le fait que le principal s'avère être un homme gai est censé nous faire voir lui aussi comme ridicule et digne de moquerie. Les quatre gars plaisantent toujours d'avoir des relations sexuelles anales ou de se violer l'un l'autre. Ils vivent dans la terreur de pénétration. Je conçois que c'est parfois comme ça que les gars parlent, mais ce n'est pas traité de manière honnête ici. C'est un cliché non examinée de liaison masculine. C'est paresseux.
Here in Park City, reports lamenting the dismal state of public transportation have, shockingly enough, not been exaggerated. Of course, I wouldn't mention the tardiness of the public transportation system if it hadn't consistently hindered me (and many others) from seeing films.After showing up to the wrong theater for my "Ivory Tower" screening, I experienced the not-so-salient issue firsthand in an attempt to catch a press and industry showing of "Obvious Child." Unfortunately, a 1-mile ride from Main Street to the Yarrow Theater took nearly 30 minutes, preventing me from getting into the movie. This was a recurring trend Saturday.An
Ici, à Park City, les rapports déplorant l'état lamentable de transport public n'ont, étonnamment, pas été exagérés. Bien sûr, je ne voudrais pas parler de la lenteur du système de transport public si elle n'avait pas toujours m'empêché (ainsi que bien d'autres) de voir des films.Après avoir révélé à la mauvaise théâtre pour mon examen « Ivory Tower », j'ai vécu la question pas tout à fait saillant de première main dans une tentative d'aller voir présentation de presse et d'industrie de « Obvious child ». Malheureusement, un tour de 1 mile de la rue Main au Théâtre Yarrow a pris près de 30 minutes, m'empêchant de entrer dans le théâtre. Il s'agissait d'une tendance récurrente de samedi.
The final chapter of season two of "Sherlock," "The Reichenbach Fall," ended with the death of Sherlock Holmes. Watson saw Holmes throw himself from a rooftop and saw the bloodied body of his friend and partner on the pavement. And then, in a classic cliffhanger that Sir Arthur Conan Doyle would have loved, Watson gave a speech at Holmes' tombstone as the detective watched from a distance. For two years (episode 2.3 originally played in January of 2012 in the U.K.), the rabid fan base of this show has devoted an amazing amount of time and energy to trying to figure how Holmes faked his death.
Le dernier chapitre de la saison deux de « Sherlock », « La Chute du Reichenback », a fini par la mort de Sherlock Holmes. Watson a vu Holmes se jeter d'un toit et a vu le corps ensanglanté de son ami et partenaire sur le trottoir. ET ensuite, d'un cliffhanger classique qu'aurait adoré Monsieur Arthur Donan Doyle, Watson a pris la parole à la pierre tombale alors que l'inspecteur regardait de loin. Pendant deux ans (épisode 2.3 a joué au commencement en janvier 2012 au Royaume Uni) les supporteurs, qui ont augmenté rapidement en nombre, ont consacré un temps et une énergie étonnants à tenter de comprendre comment Holmes a pu simuler sa mort.
Although it sometimes wanders off the righteous path to recount a depressing or perverse anecdote at length—such as the tale of a ridiculously expensive child custody evaluator who bragged of drug use and unprotected group sex on Facebook—for the most part it's a stylistically bland work. "Divorce Corp" is directed and edited at roughly the same level of imagination as a network newsmagazine story: talking head, talking head, talking head, cut to a chart, exterior shot of a courthouse, cut to another chart, talking head, capped by a segue along the lines of, "And if you think that's shocking, wait'll you hear this."
Bien qu'il erre parfois hors des sentiers justes pour raconter une anecdote déprimant ou pervers à longueur comme l'histoire d'un ridiculement cher évaluateur de garde d'enfants qui se vantait de l'usage de drogues et le sexe de groupe non protégés sur Facebook - pour la plupart, il s'agit d'un travail stylistique fade . « Divorce Corp » est réalisé et monté à peu près au même niveau de l'imagination comme une histoire de magazine de réseau : tête parlante, tête parlante, tête parlante, couper à un tableau, photo extérieure d'un palais de justice, couper à un autre tableau, tête parlante, finie par un enchaînement s'inscrivant dans une simple perspective de « Et si vous pensez que c'est choquant, attendez, vous entendrez cela. »
Julian offers the now-unemployed Robert a job delivering coffee to his clients, one of which is the aforementioned Morgan, an attorney who has just set up her own firm. When Robert drops off the coffee, he also decides to take that opportunity to not only offer his services to paint her new office but also hit on her. Morgan, thank goodness, seems like a real person, and treats the come-on like the inappropriate behavior that it is, but "Black Coffee" needs these people to be together, so eventually Morgan accepts a dinner invitation. She insists that it is not a "date", and yet she shows up at his house in a skintight purple mini dress heavy on the cleavage.
Julian propose à Robert, maintenant sans emploi, un poste de livreur de café à ses clients, dont l'une est Morgan, nommée ci-dessus, un avocat qui vient de créer son propre cabinet. Lorsque Robert dépose le café, il décide également de saisir cette occasion pour offrir non seulement ses services de peinture pour son nouveau bureau, mais aussi pour la draguer. Morgan, Dieu merci, semble une personne réelle, et prend la drague comme le comportement inapproprié que ce soit, mais « Café Noir » a besoin que de ces personnes soient ensemble, donc finalement Morgan accepte une invitation à dîner. Elle insiste sur le fait que ce n'est pas une « rendez-vous amoureux », et pourtant, elle se présente à sa maison en mini-robe violette collante avec un décolleté vertigineux.
Any understanding of who Morgan is, any specificity of her character, is lost in that sloppy and opportunistic costuming choice.Morgan and Robert begin a tentative romance, where all they do is talk about what a "real man" is like, and what a "real woman" needs. They discuss the meaning of the word "soul mate" with no irony. Morgan asks Robert if he is "a man of God", clearly important to her, and she tells him that she thinks woman's real role is to be her man's "helpmeet". Never mind that she has the gumption and smarts and bravery to go to law school, work as an attorney in a cutthroat business, and then actually set up shop for herself.
Toute compréhension de la personne de Morgan, toute spécificité de son caractère, est perdue dans ce choix de costume bâclée et opportuniste.Morgan et Robert entament un amour hésitant, où ils ne font que parler de ce qu'est un « vrai homme », et de ce dont a besoin une « vraie femme ». Ils discutent de la signification du mot « âme sœur », sans ironie. Morgan demande à Robert si il est « un homme de Dieu », clairement important pour elle, et elle lui dit qu'elle pense que le vrai rôle de la femme est d'être « la compagne » de son homme. Peu importe qu'elle ait le cran, l'intelligence et le courage pour aller à l'école de droit, travailler comme avocat pour une entreprise acharnée, et puis effectivement s'installer pour elle-même.
That Violet has cancer of the mouth is an apt metaphor as we soon learn as a doped-up Streep, ghostly pale with whitened chemo-damaged hair, suddenly materializes in a vapor of cigarette smoke and mutters sarcastic insults and crudely curses before promising, "I'll be sickly sweet." Fat chance.Soon after, Bev goes missing. After his body turns up in a lake, an apparent suicide, the rest of the family descends upon the mausoleum-like homestead for his funeral. Like one of those "We Are the World" all-star charity songs, each performer is a granted a for-your-consideration moment to shine—although with varying degrees of success, especially among the men folk.
Que Violette a un cancer de la bouche est une métaphore que nous apprenons dès que Streep, dopé, d'une pâle fantomatique avec des cheveux endommagés et blanchis par le chimio, matérialise soudainement dans une vapeur de fumée de cigarette et marmonne des insultes sarcastiques et jure grossièrement avant de promettre « , Je serai écœurante. » Bien sûr.Peu de temps après, Bev disparaît. Après que son corps est retrouvé dans un lac, un suicide apparent, le reste de la famille descend sur la propriété familiale-mausolée pour ses funérailles. Comme un de ces « We Are The World » all-star chansons de charité des étoiles, chaque artiste est un accordée un moment pour-votre-considération pour briller - mais avec moins de succès, en particulier chez les hommes-parents.
When the climactic fight arrives, I found myself without a side to choose, because "Grudge Match" is too timid to ask me to commit to either boxer. Director Peter Segal shoots the match well, but even with the late reveal of one fighter's major disadvantage in the ring, I remained apathetic. I'll give credit to the film for picking a definitive winner, even if the match made the boxing associations of Nevada and New Jersey look like boy scouts compared to the one in Pennsylvania. They sanction a lawsuit and/or a murder waiting to happen.
Lorsque le combat arriva, je me suis retrouvé sans côté à choisir, parce que « Grudge Match » est trop timide pour me demander de s'engager envers l'un ou l'autre des boxeurs. Le réalisateur Peter Segal tourne bien le match, mais même avec la révélation tardive de la position de faiblesse de l'un des combattants sur le ring, je suis resté apathique. Je rends hommage au film pour avoir choisi un gagnant définitif, même si le match a fait les associations de boxe de Nevada et New Jersey passer pour des scouts par rapport à celui de la Pennsylvanie. Ils sanctionnent une action en justice et / ou un meurtre qui attend d'arriver.
It's doubtful that cinephiles would get into similar arguments about movie characters, but "Grudge Match" hopes you have. The commercials guarantee a fight between the actors who played two of the most memorable boxers in film history, Rocky Balboa and Jake LaMotta. The unfortunate thing is that these actors are not the same age as they were when they played those famous pugilists. I don't know who asked for a match between those two, but I assure you they didn't want a 70-year-old LaMotta and a 67-year old Rocky. Regardless of how much "Grudge Match" pokes fun at its stars' ages (their fight is sponsored by Geritol, for example), it's still two old guys beating the hell out of each other for your enjoyment.
Il est douteux que les cinéphiles auraient des arguments similaires sur les personnages de films, mais « Grudge Match » veut que vous ayez. Les publicités garantissent un combat entre les acteurs qui ont joué deux des boxeurs les plus mémorables de l'histoire du film, Rocky Balboa et Jake LaMotta. Le malheur est que ces acteurs n'ont plus le même âge que quand ils ont joué ces pugilistes célèbres. Je ne sais pas qui a demandé un match entre les deux, mais je vous assure qu'ils ne voulaient pas un LaMotta de 70 ans et un Rocky de 67 ans. Peu importe à quel point « Grudge Match » se moque de l'âge de ses étoiles (leur combat est parrainé par Geritol, par exemple), il s'agit toujours de deux vieux gars qui se battent à toute volée pour votre plaisir.
I liked the message better in "Rocky Horror" myself. While everything Stiller attempts here has a real professional polish, what "Mitty" lacks is any sense of what life might actually be like for the kind of "ordinary man" Mitty represents. Adam Scott's dismissive, ignorant bean-counter, a company man who's overseeing the shutdown of Life, comes off more like a nasty CAA agent than a publishing executive. And every now and then a Mitty fantasy will show its snide hand: there's an entirely beside-any-point "Benjamin Button" parody here that wouldn't pass muster as an MTV Movie Awards sketch.
Moi, j'aimais plus le message dans « Rocky Horror». Alors que tout ce qui tente ici Stiller a une vraie qualité professionnelle, ce que manque « Mitty » est tout le sens de ce que la vie pourrait être comme pour le genre de « homme ordinaire » que Mitty représente. Le dédaigneux, ignorant avare d'Adam Scott, un homme d'affaires qui supervise l'arrêt de la vie, donne plutôt l'impression d'un agent de la CAA méchant que d'un responsable de la presse. Et de temps en temps un fantasme Mitty montrera sa main sarcastique : il y a ici parodie « Benjamin Busson » entièrement à coté qui ne saurait être acceptable en tant qu'esquisse MTV Movie Awards.
A good many people get a contact high from following the exploits of entrepreneurs, financiers, bankers, CEO and the like, and when such men (they're nearly always men) get busted for skirting or breaking laws, they root for them as if they were disreputable folk heroes, gangsters with fountain pens instead of guns—guys who, for all their selfishness and cruelty, are above the petty rules that constrict the rest of us.
Un certain nombre de gens se font plaisir à suivre les exploits des entrepreneurs, des financiers, des banquiers, des PDG et autres, et lorsque ces hommes (ils sont presque toujours des hommes) s'éclatent pour plinthes ou enfreint les lois, ils les soutiennent comme si ils étaient des héros folkloriques peu recommandables, des gangsters avec des stylos au lieu de fusils - des types qui, malgré leur égoïsme et cruauté, sont au-dessus des règles mesquines qui compriment le reste d'entre nous.
Welcome to the holiday portion of the awards race. The heavy shopping is out of the way from the critic groups. Over 20 regional city and state organizations, five or so specialty critic/press associations, three exclusively online entities and the Screen Actors Guild have announced their winners. Someone in a pear tree has no doubt weighed in. As most prognosticators could have told you two months ago, the ultimate battle is coming down to "12 Years a Slave" vs. "Gravity."The anticipation leading up to those three weeks when the Oscar race is shaped dissipates into complacency. Another victory for "12 Years a Slave." Oh look, that group really liked Jared Leto, too.
Bienvenue à la partie de vacances de la course aux récompenses. Le centre commercial débordé est à l'écart des groupes de porte-parole. Plus de 20 villes et de l’état, à peu près cinq organisations régionales ou spécialisés critique / presse, trois entités exclusivement en ligne et les Screen Actors Guild ont annoncé leurs lauréats. Quelqu'un dans un poirier a sans doute intervenu. Comme la plupart des pronostiqueurs auraient pu vous dire il y a deux mois, l'ultime bataille se résume à « 12 ans d'un esclave » vs « Gravity ».L'anticipation menant à ces trois semaines, quand la course aux Oscars en forme se dissipe dans la complaisance. Encore une victoire pour « 12 ans un esclave. » Oh, regardez, ce groupe a vraiment aimé Jared Leto, aussi.
But the whole film is so casual about all of it, and Swanberg, who seems more interested in finding the beauty in some of the images he frames (more so than he has in his other films), doesn't do much with the frame once he sets it up. Actors sit and talk within the frame, often in one long take, and the "event" of the scene, whatever it may be, starts to loosen, lose focus, fall apart. Many of these scenes feel like really productive rehearsals, improvisation exercises for the actors to find out their motivation and objective. But everyone sitting around talking doesn't lead us anywhere.
Mais tout le film est si désinvolte au sujet de tout cela, et Swanberg, qui semble plus intéressé à trouver la beauté dans certaines des images qu'il capture (d'autant plus que ce qu'il a dans ses autres films), ne fait pas beaucoup avec l'image une fois qu'il la met en place. Des acteurs s'asseyent et parlent dans l'image, souvent dans une longue prise, et « l'événement » de la scène, quel qu'il soit, commence à se desserrer, à se déconcentrer, à s'effondrer. Beaucoup de ces scènes rappellent des répétitions très productives, des exercices d'improvisation pour les acteurs à trouver leur motivation et objectif. Mais tout le monde resté assis à traîner et à discuter ne nous mène nulle part.