Jericoacoara, located roughly 330km west of Fortaleza and straddling the equator, started life as a small fishing village where a barter system predominated and there was no electricity, phones or TV. The town drew hippies, artists and wanderers, and today’s visitors are a mix of those same free spirits, including international travellers and hip, young professionals from Brazil’s south. However, in the past two decades Jeri has also become renowned for its wind: in a country with 7,491km of coastline, the settlement draws kite boarders and windsurfers from around the world.
Jericoacoara, se situe à peu près 330km de l'ouest de Fortaleza et traversé par l'équateur. Il est né comme un petit village de pêche, où un système de troquer domine et il n'y a pas de courant, ni téléphone ni télé. La ville attire les hippies, les artistes et les voyageurs, et aujourd'hui, les visiteurs ont les mêmes esprits de libre, y compris les voyageurs internationaux et les les chics et jeunes professionnels venant du Sud du Brézil. Néanmoins, pendant les deux dernières décennies, Jeri est aussi reconnu par son vent: 7,491km du littoral, ce village attirer les amateurs du cerf-volant et les véliplanchistes du monde.
In addition, a proposed airport just outside of town is expected to be completed by the end of 2013, making access easier (35km rather than the 330km to Fortaleza), and more change is likely with the influx of tourists for the June 2014 World Cup and the August 2016 Olympics.
Locals and people who have been coming for years have been watching the transformation with understandable resentment, especially when charter tours – remarkably noticeable in a town with only four main streets, all of which lead to the beach – started to trickle in. But these are few, and Jeri is a still a long ways from resembling any sort of tourist trap.
En plus, la construction d'un aéroport juste à l'extérieur de la ville devrait être terminée vers la fin 2013. Ce dernier facilitera l'accès à Fortaleza (35 km plutôt que 330 km) et encore plus de changements sont prévus avec l'afflux de touristes pour la Coupe du Monde de juin de 2014 et les Jeux olympiques d'août 2016.
Les habitants ainsi que les touristes habituels ont regardé la transformation avec une certaine appréhension légitime, surtout le passage d'autobus nolisés ont commencé à affluer, ces derniers étant faciles à remarquer dans un village qui n'a que quatre rues principales, menant toutes à la plage. Mais cette multitude de touristes est très minime et Jeri est encore bien loin de ressembler à une grande station balnéaire.