tanyayu1 — Received Reviews

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Хотя пейзаж впечатляет, меньшие горы заслоняют собой более высокие вершины, поэтому я решил найти лучшие виды, пройдясь по соседним городкам. Я прочел в путеводителе о небольшой деревне Гиммельвальд, расположенной высоко в горах, и поняв, что это недалеко, решил туда отправиться на день.

Первая остановка была в городе Лаутербруннен. Я сошел с поезда и отошел от станции, зайдя за небольшой холм. Панорама, которая развернулась перед моими глазами, лишила меня дара речи. Заснеженные горы образовали величественную каменную стену вокруг узкой зеленой долины.

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Хотя пейзаж впечатляет, меньшие горы заслоняют собой более высокие, поэтому я решил найти вид получше, пройдясь по соседним городкам. Я прочел в путеводителе о небольшой деревне Гиммельвальд, расположенной высоко в горах, и поняв, что это недалеко, решил отправиться туда на день.

Первая остановка была в городе Лаутербруннен. Я сошел с поезда и отошел от станции, зайдя за небольшой холм. Пейзаж, открывшийся перед моими глазами, лишила меня дара речи. Заснеженные горы образовали величественную каменную стену вокруг узкой зеленой долины.

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Un jeune homme en jeans et une veste de sport court le long de la voiture, offrant d'être notre guide. Je me méfie, étant habitué à devoir faire fi de tous les guides autoproclamés qui s'accrochent toute personne blanche à Ouagadougou dans l'espoir de faire quelques francs. Mais le chauffeur de taxi vérifie avec l'agent de police du village s'ennuyant; il nous assure que le jeune homme, Bernard, est un guide officiel. Alors nous le suivons.
Une fois que nous avons garé la vieillissante Toyota rouge à l'ombre, pas un seul moteur peut être entendu dans le village.
Il est apaisant calme. Bernard nous dirige vers l'entrée de village d'un composé boue cabane. Il explique qu'il peut accueillir une famille élargie de près de 200 personnes.

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Un jeune homme en jeans et une veste de sport court le long de la voiture, offrant d'être notre guide. Je me méfie, étant habitué à devoir faire fi de tous les guides autoproclamés qui s'accrochent à toute personne blanche à Ouagadougou dans l'espoir de faire quelques francs. Mais le chauffeur de taxi vérifie avec l'agent de police du village qui s'ennuit; il nous assure que le jeune homme, Bernard, est un guide officiel. Alors nous le suivons.
Une fois que nous avons garé la vieillissante Toyota rouge à l'ombre, pas un seul moteur ne peut être entendu dans le village.
Il regne un calme apaisant. Bernard nous dirige vers l'entrée de village d'une enceinte de huttes de terre. Il explique qu'il peut accueillir une famille élargie de près de 200 personnes.

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Sortir de la capitale inesthétique et encombré de trafic, Ouagadougou, est déjà un régal. Comme le taxi croisière le long de la route goudronnée droite, la poussière de "Ouaga" cède la place à des champs verts. Acacias maigres et baobabs gros se brisent parfois la monotonie de la plaine.

Après deux heures et demi à travers la savane aride, nous bifurquons sur un chemin de terre bordé d'arbres. Une demi-heure cahoteuse plus tard, au cours de laquelle nous n'avons rencontré que quelques vélos, nous arrivons enfin à Tiebele, situé au milieu des collines qui continuent au Ghana, à seulement quelques kilomètres.

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Sortir de la capitale inesthétique et encombrée de trafic, Ouagadougou, est déjà un régal. Pendant que le taxi roule le long de la route goudronnée droite, la poussière de « Ouaga » cède la place à des champs verts. Des acacias maigres et des baobabs gros brisent parfois la monotonie de la plaine.

Après deux heures et demi à travers la savane aride, nous bifurquons sur un chemin de terre bordé d'arbres. Une demi-heure cahoteuse plus tard, au cours de laquelle nous n'avons rencontré que quelques vélos, nous arrivons enfin à Tiebele, situé au milieu des collines qui continuent au Ghana, à seulement quelques kilomètres.