I wonder if Aaron Eckhart knew, when he signed on to play eventually-horrifically-disfigured Gotham City District Attorney Harvey Dent in Christopher Nolan's "The Dark Knight," that "it," such as it is, would ever come to "this." Surely it is only his performance as the Batman universe character also-known-as "Two-Face" that gave the makers of "I, Frankenstein," a grievously ill-advised motion picture on every level, the inspiration to cast Eckhart as the undead creation of horror lore.
Je me demande si Aaron Eckhart savais, lorsqu'il a signé pour jouer éventuellement Harvey Dent, procureur de Gotham City, terriblement défiguré, dans « The Dark Knight », de Christopher Nolan, que, « lui » tel qu'il est, ne parviendrait jamais à « cela ». Certainement c'est uniquement sa performance comme le personnage de l'univers Batman, aussi connu comme « Double-Face » qui a donné aux producteurs de « I, Frankenstein », un film grièvement malavisé à tous les niveaux, l'inspiration de choisir Eckhart comme la créature morte-vivante de la tradition de l'horreur.
This particular envisioning of Frankenstein's monster might just as well be called Scarface, for a cut-up visage, and, for the 18th-Century-set intro, some Seattle-grunge-rocker hair, are all that disguise Eckhart's fratinee-idol good looks here. The intro, with narration from the monster—who is very articulate and speaks just like Aaron Eckhart—gives what at first seems an only slight variant on the Shelley original.
Cette visualisation particulière du monstre de Frankenstein pourrait aussi bien s'appeler Scarface, en raison d'un visage coupé, et, des cheveux au look grunge-rocker de Seattle dans l'intro, qui a lieu au 18ième siècle, sont tout ce qui déguise la beauté d'idole de Eckhart ici. L'intro, avec la narration du monstre - qui est s'exprime très bien et parle exactement comme Aaron Eckhart - donne ce qui semble au premier abord n'être qu'une légère variation de l'original de Shelley.