But the whole film is so casual about all of it, and Swanberg, who seems more interested in finding the beauty in some of the images he frames (more so than he has in his other films), doesn't do much with the frame once he sets it up. Actors sit and talk within the frame, often in one long take, and the "event" of the scene, whatever it may be, starts to loosen, lose focus, fall apart. Many of these scenes feel like really productive rehearsals, improvisation exercises for the actors to find out their motivation and objective. But everyone sitting around talking doesn't lead us anywhere.
Mais tout le film est si désinvolte au sujet de tout cela, et Swanberg, qui semble plus intéressé à trouver la beauté dans certaines des images qu'il capture (d'autant plus que ce qu'il a dans ses autres films), ne fait pas beaucoup avec l'image une fois qu'il la met en place. Des acteurs s'asseyent et parlent dans l'image, souvent dans une longue prise, et « l'événement » de la scène, quel qu'il soit, commence à se desserrer, à se déconcentrer, à s'effondrer. Beaucoup de ces scènes rappellent des répétitions très productives, des exercices d'improvisation pour les acteurs à trouver leur motivation et objectif. Mais tout le monde resté assis à traîner et à discuter ne nous mène nulle part.
The film starts to feel opaque, hidden under a veil of its own casual attitude. And the final image, which is a stunner, doesn't open us up to deeper understanding. It just sits there, static, beautiful and not much else.
Le film commence à avoir l'aspect opaque, caché derrière un voile de son propre allure désinvolte. Et l'image finale, qui est une merveille, n'ouvre pas à une compréhension plus profonde. Elle en reste là, statique, belle, et pas grande chose d'autre.