We live with a culture that can stare unblinkingly at grisly murders, Ultimate Fighter concussions, all manner of petty, bloody cruelties, so long as they are packaged as entertainment or certified as high art. What seems to inspire all the hand-wringing advisories about Seidl's relatively non-violent films is the way their protagonists refuse our pity while his camera refuses to look away from everyday realities we've been conditioned to find pathetic or distasteful. In "Love," Melanie's full-figured, middle-aged mother, Teresa, strode onto a Kenyan beach in a bathing suit, inviting cringes from viewers who couldn't imagine anyone seeing her as beautiful or desirable. In "Faith",
Nous vivons avec une culture qui peut regarder sans ciller des meurtres macabres, des commotions Ultimate Fighter, toutes sortes de cruautés petites et sanglantes, tant ils sont emballés comme un divertissement ou certifiés du grand art. Ce qui semble inspirer tous les avis agités concernant les films relativement non-violents de Seidl est la façon dont leurs protagonistes refusent notre pitié tandis que sa caméra refuse de détourner le regard de la réalité de tous les jours que nous avons été conditionnés à trouver pathétique ou de mauvais goût. Dans « Love », la mère de Melanie, Teresa, d'âge mur et aux formes épanouies, marchait sur une plage kenyanne dans un maillot de bain, en invitant la grimace de téléspectateurs qui ne pouvaient imaginer que personne ne la voie comme belle ou désirable. Dans « La foi »,
Melanie's aunt Anna Maria seemed a spinsterish Jesus freak, clinging to her faith in lieu of getting a life.
What those reponses miss is how often Seidl shows Teresa to be radiantly beautiful, in her blushing anticipation and curiosity at first; her woozy afterglow when she's finally scored what she believes is a foreigner who sees into her heart. Similarly, we learn that Anna Maria is no holy fool, but a woman with a past as full of physical pleasures and emotional disappointments, a past so turbulent that it drove her further into her faith as a refuge.
Anna Maria, la tante de Mélanie, semblait une vieille fille folle de Jésus, s'accrochant à sa foi, au lieu de profiter de la vie.
Ce que manque à ces réponses c'est la fréquence à laquelle Seidl montre Teresa resplendissante, rougissante par anticipation et sa curiosité d'abord ; sa joie patraque quand elle a finalement trouvé ce qu'elle croit être un étranger qui voit dans son cœur. De même, nous apprenons que Anna Maria n'est pas un brave idiot, mais une femme avec un passé plein de plaisirs physiques et déceptions émotionnelles, un passé si turbulent qu'il l'a poussée plus loin dans sa foi comme un refuge.