Well, you kind of start with the premise of "it makes us laugh" and there's a little bit of checking in with the crowd. Will and I write our sense of humor. We've been doing it for a long time so there is some adjustment going on that we're not even conscious of. There's some awareness that there's an audience that's going to see it. You're not completely out there. You put it up and, much like horror…in horror and comedy, the audience really has to go with you. So we don't mind losing 'em for stretches. We don't mind throwing something at 'em that they outright don't like but you want them to be with some of the movie.
Bon, il faut commencer avec la supposition que "ça nous fait rire" et il faut rester à l'écoute de la foule. Will et moi, on écrit notre sens de l'humour. Ça fait vraiment longtemps qu'on travaille ensemble, et donc certains ajustements se font sans même que nous nous en rendions compte. Nous sommes conscients qu'une audience sera présente. Nous ne sommes pas complètement seuls. Nous commençons, et puis, c'est un peu horrifiant... l'horreur et le comédie, l'audience doit vraiment nous suivre. Ça ne nous dérange pas de les perdre à un moment ou à un autre. Ça ne nous dérange pas de leurs envoyer quelque chose qu'ils n'apprécient pas du tout, mais nous voulons quand même qu'ils soient à l'écoute du film.
I can't believe it either, because Do is a bit of a dud. Plus, who gets weirdly clingy like this in their 20s? Snap out of it, girl, you have a brain and a career. Use them.From there, "Trap for Cinderella" hops back and forth between the present day, with "Micky" or whoever she is figuring out what really happened between her and Do, and flashbacks to ominous topless sunbathing trips and drives along high, sheer cliffs in an expensive convertible. The normally formidable Frances de la Tour goes to waste in a couple of quick scenes as Micky's aunt; she supposedly serves as a key piece of the puzzle but barely gets the opportunity to register.
Je ne peux pas y croire non plus, puisque Do est un peu louche. De plus, qui est-ce qui devient bizarrement collante comme ça durant la vingtaine? Réveille-toi, bon sens, t'as un cerveau et une carrière. Utilise-les.Depuis, "L'attrape pour Cendrillon" va et vient entre le jour présent, où elle essaie de compredre ce qui c'est passé entre elle et Do avec "Micky" ou qui que ce soit qui l'aide, et des retours en arrière à de calamiteux voyages de bronzage sans haut et des promenades en décapotable le long de falaises escarpées. Frances de la Tour, normallement une actrice formidable, se voit gaspillé en quelques scènes rapides durant lesquelles elle incarne le tante de Micky; elle serait supposément une pièce importante du mystère, mais a à peine l'opportunité d'apparaître.
Then again, Softley doesn't invest much effort in his lead characters, either. Rather than taking the time to develop these women as recognizable people who find themselves in a dangerous situation we care about, he presents them as types and makes them pawns in an elaborate (and increasingly preposterous) game.The only thing that's disturbing here is the misogynistic perpetuation of the myth that women are jealous creatures hell-bent on destroying each other—or making out, whichever comes first.
Qui plus est, Softley n'investit pas beaucoup d'effort dans la création de ses personnages principaux. Plutôt que de prendre le temps de développer ces femmes et de les façonner en personnages reconnaissables qui se retrouvent dans des sitations difficiles auquelles nous portons attention, il les présente comme clichés et les transforme en pions dans un jeu élaboré (et de plus en plus grotesque).La seule chose qui soit vraiment troublante ici est la perpétuation du mythe misogynique que les femmes sont des créatures jalouses qui ne pensent qu'à se détruirent entre elles - ou d'embrasser le premier venu, quel que soit la situation qui se présente en premier.